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Votre organisation est le point central de votre univers, tout comme Rome (dans l’Antiquité) était considérée comme le centre du monde. Et autour de l’épicentre de votre monde gravitent plusieurs acteurs.

Parties prenantes et sphère d’influence

Certains sont en relation (directe ou indirecte) avec vous, d’autres n’ont aucun lien. La première catégorie est plus communément appellée “parties prenantes”.
Une partie prenante, c’est une entité (physique ou morale) qui est impactée ou qui peut avoir un impact sur vos décisions ou activités. On peut généralement regrouper ces parties prenantes par grandes typologies.

Et comme dans un système stellaire, les pouvoirs d’attractions avec ces parties prenantes dépendent de leur proximité. Certaines sont proches et ont plus d’influence que d’autres. Ce que l’on retrouve sous la notion de sphère d’influence.
La sphère d’influence représente ainsi l’ensemble des parties prenantes qui ont un pouvoir d’influence sur les décisions et activités de votre organisation. La réciproque est valable (pouvoir d’influer sur les décisions / activités de vos parties prenantes).

Il va de soi que vous entretenez plus d’échanges avec votre sphère d’influence qu’avec vos autres parties prenantes. Pour cela faut-il bien identifier ses parties prenantes et les hiérarchiser pour obtenir votre sphère d’influence.

 

 

Dialogue et communication : quelle utilité ?

 

Avant même de parler de dialogue ou de communication, l’écoute (des partie prenantes) est la base de tout.

Sans écoute, comment connaitre les besoins des consommateurs, des fournisseurs, des autres parties prenantes ? Comment savoir si ses actions correspondent à leurs attentes ? la perception des parties prenantes sur sa structure ?
Il parait nécessaire d’être constamment en écoute active vis-à-vis de ses parties prenantes, afin de déceler leurs besoins ou attentes, leurs remarques, leur ressenti.

La dialogue va plus loin que l’écoute, incluant une notion d’échange. Il permet en effet de rebondir sur ce que dit son interlocuteur afin :

  • de creuser l’idée émise pour aller plus loin (définir la cause première ou le fond de la pensée)
  • ou au contraire, émettre un point de vue divergent pour ouvrir le débat, voir rectifier une interprétation erronée.

L’effet secondaire du dialogue : l’installation d’un climat de confiance entre les divers interlocuteurs.

La communication, quant à elle, va essentiellement dans un sens. L’objectif est de transmettre une information, sans attendre de retour de la part de son destinataire.

Dans une démarche de Responsabilité Sociétale, nous nous intéresserons à ces trois formes d’échanges (écoute, dialogue & communication).